Inhumation ou crémation
Le choix de l’inhumation ou de la crémation est une décision souvent difficile à prendre, d’autant plus lorsque le défunt n’a pas exprimé clairement ses volontés.Ce choix fait appel à des convictions intimes, culturelles ou religieuses.
Inhumation
De nos jours, l’inhumation reste la pratique la plus courante. A noter, l’inhumation doit se dérouler au minimum 24 heures et au plus tard 6 jours ouvrables après la date du décès.
Les concessions
- concession pleine terre- cela consiste à inhumer le cercueil en pleine terre. Différentes sortes d’habillage sont possibles pour l’extérieur de celle-ci.
- caveau ou monument funéraire
- monument pouvant accueillir plusieurs cercueils en fonction de la dimension de sa cuve. Il existe différentes sortes de caveaux (tombale, porte, hors sol….). Nos marbriers sont à votre disposition pour vous guider dans votre choix.
- Si vous ne possédez pas de concession, le cercueil peut être placé dans le dépositoire ( caveau appartenant à la commune) du cimetière en attendant l’acquisition de votre concession et/ou construction du monument. A savoir, le dépôt d’un cercueil en dépositoire ne doit pas dépasser 6 mois et peut être soumit à une contribution financière.
Crémation
La crémation a été institutionnalisée en Asie par le bouddhisme et l’hindouisme, étant avec l’enterrement l’une des techniques les plus communément utilisée par l’Homme. Notre entreprise travaille régulièrement avec les crématoriums de Cornebarrieu, Montauban et Auch mais il vous également possible d’opter pour un autre crématorium.
Destination des cendres
Les conditions de dispersion des cendres funéraires sont strictement réglementées. A la fin de la crémation, l'urne contenant les cendres du défunt est remise à la personne chargée d'organiser les funérailles. L'urne peut être conservée au crématorium, mais pendant un an maximum. Si les proches ne prennent pas de décision sur le sort des cendres du défunt, celles-ci sont par défaut dispersées dans un espace dédié du cimetière de la commune du lieu du décès. L'urne peut aussi être conservée dans un cimetière ou site cinéraire spécialisé, site que les communes de plus de 2 000 habitants ont l'obligation de créer à la disposition de leurs administrés. Il n'est plus possible de conserver à domicile les urnes funéraires contenant les cendres du défunt après crémation ou incinération. La loi prévoit toutefois la possibilité pour les intéressés de les enterrer dans un jardin privé. En revanche, la dispersion dans un jardin public est interdite. Il est également possible de disperser les cendres dans "un jardin du souvenir", dans un cimetière ou en pleine nature (hors voies publiques). La dispersion des cendres en mer est autorisée. La loi (article L. 2223-18-3 du Code général des collectivités territoriales) impose de déclarer la dispersion (date, lieu et identité du défunt) à la mairie du lieu de naissance du défunt
- soit l’urne est « inhumée » dans un caveau ou un cavurne;
- soit l’urne est « scellée » sur un monument funéraire (dalle de tombe ou de caveau) ;
- soit l’urne est « déposée » dans une case de columbarium (concession) ;
- soit les cendres sont « dispersées » dans un espace aménagé à cet effet, non payant (jardin du souvenir).
